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Le Sorcier qui s’apprête en s’en faire tailler… une

Le Sorcier qui s’apprête en s’en faire tailler… une

 

Alain Bernard, journaliste, Ô combien  émérite, commet, ce 27 novembre 2010, dans le quotidien  Sud-Ouest un des habituels publi-reportages dont il a le secret : cette fois-ci c’est au profit de la grotte de  Saint-Cirq du Bugue qu’exploite, le mot est à prendre au pied de la lettre, Jean-Max Touron qui gère entre autres et par ailleurs, le site grand-guignolesque de la Roque Saint Christophe.

Cette modeste cavité vézèrienne d’à peine 13 mètres de long recèle un remarquable  décor pariétal paléolithique mis en évidence, en 1952 puis 1953, ce que s’abstient de préciser le localier emblématique du « Pays de l’homme » et de la truffe réunis, par S. Blanc, B. Mortureux et son épouse et Bernard Pierret, le Président Fondateur du Spéléo-Club de Périgueux.

Parmi les figurations révélées celle, exceptionnelle, d’un « sorcier ithyphallique »  (sic) a fait la fortune, toute relative, d’une caverne qui draine essentiellement les  meilleurs connaisseurs de l’art pariétal préhistorique.

Le personnage en question ( voir photo ci-dessous) est de toute évidence de sexe masculin à en juger par une verge démesurée qui peine à obtenir une érection compatible avec le moindre coït !

Cette particularité avait, en son temps, attiré l’attention, du regretté Christian Carcauzon, qui avait fait part de ses  pertinentes observations dans son inoubliable  mémoire  Duralexique Sedlexique (3)

Soucieux de reprendre, avec « Un œil différent » l’étude d’un sanctuaire en panne de notoriété touristique, une bande d’histrions opérant dans un « quasi bénévolat »… mais pas tout à fait cependant, s’efforcera dans les prochains jours de proposer une autre interprétation des scènes gravées sur les parois de l’antre !

À cet égard on doit craindre le pire puisque ces « chercheurs » (sic) semblent disposés à admettre que le « sorcier qui bande mou » n’est en fait qu’un « nouveau-né » et que son engin se réduit à un simple lien ombilical !

Profondément troublé par cette hypothèse nous avons tenu à la vérifier… en baissant notre pantalon. Notre bite , même si elle est moins lymphatique, s’ancre, comme celle du sorcier de Saint-Cirq  à un niveau que d’aucuns qualifieront de pubien et non pas d’abdominal !

À croire que ces paléolithiciens à la petite semaine cherchent un cordon pour se pendre !

 (3) CORPS CAVERNEUX : A cause d'une mauvaise irrigation de son corps caverneux le sorcier de la grotte de Saint-Cirq ne connut que de semi-érections. En clair il bandait mou comme le confirme le peu charitable portrait que fit de lui un artiste préhistorique demeuré prudemment anonyme. Consultés sur ce handicap les paléo-pathologistes magdaléniens auraient prié le patient… de l'être quelques milliers d'années supplémentaires. Jusqu'à la mise au point du Viagra ! Elle est raide celle-là !



27/11/2010
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